Des arguments chocs pour favoriser le déclic !

Dans le cadre du contrat urbain de cohésion social qui intervient sur les quartiers en difficulté la Municipalité a fait le choix de payer, aux côté d’autres partenaires tels que l’Etat, des sauts en parachute aux jeunes de ces quartiers.

Yves Nicolin s’est interrogé sur la pertinence de cette action et sur l’inévitable nécessité de se recentrer sur des actions qui ont réel impact en matière d’insertion sociale et d’aide aux plus défavorisés.

La majorité municipale n’a rien voulu entendre et à largement défendu cette action. Philippe Serreau, adjoint au maire a déclaré « si il faut faire sauter un jeune en parachute pour qu’il se sente mieux : pourquoi pas ! », Madame Maestracci a précisé qu’il « faut considérer le saut en parachute comme une activité qui exige  de la discipline, de la maitrise de soi et de la responsabilité collective. Ca peut faire un déclic chez les jeunes » et Madame le Maire a conclu en déclarant « le parachute c’est comme l’esprit ça fonctionne que si on le garde ouvert »

Est-ce la priorité des familles qui sont aujourd’hui dans des situations préoccupantes a demandé Yves Nicolin ?

Oui, Oui et Oui selon arguments chocs avancés par la municipalité.